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Roger Allen, Groupe Président-Directeur Général RLA Global explique au magazine Spa Business comment les hôtels avec bien-être enregistrent des bénéfices d’exploitation bruts 10 fois plus élevés que les hôtels sans bien-être et comment l’ajout de services de bien-être peut ouvrir de nouveaux marchés pour les hôtels et les centres de villégiature.
En raison des performances exceptionnelles du marché des loisirs depuis le début de la pandémie, les actifs de villégiature ont considérablement augmenté leur attrait pour les investisseurs – en partie à cause du retour rapide de la demande des vacanciers, désireux de voyager à nouveau après de longues fermetures.
Nous nous attendons à ce que les produits proches de la nature soient particulièrement intéressants, en raison de l’appétit accru des consommateurs pour des expériences de plein air saines. De nombreux clients sont également prêts à payer plus pour se sentir en sécurité dans un complexe. Le prix n’est vraiment pas un facteur. pour beaucoup de gens s’ils sentent qu’ils sont dans un endroit sûr.
Les récentes fusions et acquisitions par des groupes hôteliers et des investisseurs en capital-investissement le confirment, montrant que les loisirs sont là où en est le marché actuel, tandis que les tendances indiquent que les actifs de villégiature et de loisirs continueront de mener la reprise dans un avenir immédiat.
Nos recherches montrent que les hôtels sans bien-être ont eu peu de capacité à s’adapter depuis le début de la pandémie, n’étant pas en mesure de compenser les pertes de revenus des chambres – alors que les hôtels avec bien-être affichent des niveaux de bénéfice brut d’exploitation par chambre disponible (GOPPAR) 10 fois plus élevés que les hôtels sans bien-être.
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Réimprimé avec l’aimable autorisation du détenteur des droits d’auteur du magazine Spa Business numéro 4 2021. Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.spabusiness.com
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